Sting, an Englishman In Luxembourg...
Returning to Luxembourg, Sting brought his enviable vocal tones to Rockhal on Saturday night.
After disbanding The Police at the height of their success in the 80s, Sting went onto just as much success with his solo work, accumulating over 16 Grammy Awards over the years. Last year saw him release his first rock record in over a decade and his 12th studio album overall, with “57th & 9th”.
Taking to the stage at five minutes to nine, with his son Joe Sumner and the support band The Last Bandoleros on backing vocals, Sting managed to catch many of the crowd by surprise.
Kicking off with The Police songs Synchronicity II and Spirits In the Material World they must have relieved any worries there might not be many Police songs through the night.
This was followed by the bass heavy classic Englishman in New York which brought the first sing along of the evening.
Sting delved into the new record with I Can’t Stop Thinking About You and One Fine Day which were a bit workmanlike and never really hit the heights of any of his earlier hits.
However, there was a good proportion of Police songs along with his classic solo repertoire to keep the audiences transfixed as he had everyone mesmerised once more with his rich vocal tones on Fields of Gold.
As Sting is touring this new record there were a few more from “57th & 9th” with Down, Down, Down and Petrol Head but the second half of the show was full of classic Police tracks.
The driving bass and guitar intro of Message in a Bottle drew cheers from the crowd before the band halted halfway through leaving just Sting’s vocals to cut through the rapturous applause.
While some songs brought raucous cheers from the crowd, Shape of my Heart drew a hush through the Rockhal as couples embraced and swayed as they were serenaded by his warm vocals once more.
The unmistakable strum of the electric followed by the bouncing bass of Walking On The Moon saw Sting continue with The Police back catalogue.
The hit laden set was not to stop there as they finished with Roxanne which brought more cheers and singing from the crowd before it morphed into a cover of Bill Withers Ain’t No Sunshine.
All evening there looked to be a party atmosphere on stage as the band laughed and interacted with each other and on Next to You it was no different, before finishing on the more down tempo Every Breath You Take and the crisp Spanish guitar driven Fragile which highlighted those warm vocal tones one last time.
Having played a best of set, Sting thrilled the Rockhal audience from start to finish and with his voice sounding a rich and warm today as ever, there are no signs of Newcastle’s favourite export slowing down anytime soon.
(c) Luxemburger Wort by Patrick Cameron
Sting a enchaîné les tubes ce samedi à la Rockhal...
Voilà près de 5 ans que le public luxembourgeois attendait le retour de Sting sur scène. Il a été comblé, samedi soir, avec le passage de son « 57th & 9th Tour » par la Rockhal d’Esch-Belval.
Une soirée qui affichait complet et qui a été ouverte par le fils de l’ancien leader de Police, Joe Sumner. Sting lui ne montera sur scène qu’une petite heure plus tard, le temps de laisser The Last Bandoleros mettre un peu d’ambiance. Ensuite tout s’est enchaîné très vite. Trop vite?
Sting et ses musiciens ont déroulé nouveaux et anciens tubes. One Fine Day, I Can’t Stop Thinking About You, Down, Down, Down ou encore Pretty Young Soldier en ce qui concerne les extraits du dernier album, 57th & 9th, du natif de Wallsend, sorti en novembre dernier. Englishman in New York, She’s Too Good For Me, I Hung My Head, Fields of Gold, Desert Rose en tant que témoins de sa très belle carrière solo, sans délaisser pour autant ses racines, celles de Police avec Spirits in the Material World, Message in a Bottle, Walking on the moon, So Lonely ou encore Every Breath You Take.
Autrement dit des chansons d’aujourd’hui et d’autres, c’est qui le rappelle sur scène, qu’il a écrites il y a "une quarantaine d’années quand son seul public était un chat".
Alors, oui, bien sûr, la playlist a de quoi faire rêver les fans de Sting, de Police et de pop en générale, mais la soirée est, finalement, assez décevante. En dehors de son anecdote sur son félin en tant que seul public, le chanteur est avare en paroles. Il communique peu avec les spectateurs. Sa voix n’a pas bougé d’un pouce malgré les années qui passent, mais justement lui non plus ne bouge pas d’un centimètre sur scène.
Tout au long de l’heure et demi de représentation il est resté immobile, avec sa basse, devant son micro. Résultat l’ensemble est pour le moins statique, plan-plan. Et le groupe semble pressé, il laisse à peine le public commencer à applaudir une chanson, que les musiciens enchaînent déjà avec une autre. Du coup, si les chansons sont toujours aussi belles et la voix toujours aussi en place, d’un point de vus scénique le show déçoit.
Et si ce n’était pour sa version étonnante de Roxanne ou pour sa reprise, en deuxième rappel, à la guitare sèche, de Shape Of My Heart, le reste manque de vie, de prise de risque ; on aurait presque pu se contenter de se repasser les CD à la maison. Après, bien sûr, le plaisir de réécouter tous ces grands tubes, reste intact. Et c’est surtout ça que devraient retenir les quelques 7000 spectateurs de la soirée.
(c) Le Quotidien by Pablo Chimienti
L'indémodable Sting a déroulé ses ballades rock...
L’ancien chanteur de Police a livré un show dynamique samedi soir à la Rockhal, alternant vieux et nouveaux tubes.
Sting a livré une bonne dose de rock samedi soir. L’indémodable chanteur anglais, toujours fringant du haut de ses 65 ans, a balayé plusieurs périodes de sa carrière devant une Rockhal pleine à craquer, de ses jeunes années jusqu’à son dernier album "57th & 9th Tour" sorti fin 2016.
Loin de ses titres très personnels voire expérimentaux des années 2000, la star, imperturbable dans un tee-shirt gris serré, a livré un spectacle très rock’n’roll. Avec des ballades, comme le très sentimental "I hung my head" et "Shape of my Head", mais aussi les très dynamiques "Petrol Head" et "Englishman in New York".
Mais c’est bien sur les vieux titres de son ancien groupe The Police que Sting a le plus fait réagir les 6 000 personnes du public. Signe que les références traversent les générations. Les chansons les plus connues ont été jouées plutôt vers la fin du concert, notamment "Message in the Bottle", "So lonely" et "Roxanne". Le célébrissime "Every breath you take" a même été joué après le rappel. Ceux qui sont sortis avant la fin du concert pour éviter les bouchons l'ont même manqué!
L’enfant de Newcastle, qui n’a que très peu communiqué avec le public, a rendu un hommage à David Bowie. Mais de manière indirecte, puisque c’est son fils Joe Sumner qui a tenu la vedette sur la reprise acoustique et émouvante de "Ashes to Ashes". Le rejeton de Sting avait déjà assuré la première partie du show. Encore une histoire de musique qui traverse les générations…
(c) l'Essential by Joseph Gaulier