Sting dans l'àge de raison - 4,000 personnes à Antarès hier soir pour une superbe affiche...
Sting est de retour en France, cet hiver avec son 'Mercury Falling Tour', du nom de son dernier album. Partageur, il a ''offert'' cette première partie à la chanteuse Noa, Ils chantalent a à Antarès, hier soir, devant 4,000 personnes.
Entre Noa et Sting, on ne sait pas s'il y a une histoire d'amour. Mais il y a l'amour, récurant au fil de leurs chansons, il ya a la recherché des raciness, yéménites pour l'une et profondement ceitiques et chrétiennes pour l'autre. Il y a aussi la ''pop''. Elle sonne particulièrement dans les morceaux en anglais de Noa: élevée à New York, ''produit'' de la culture anglo-saxonne et d'un certain jazz (les amateurs de l'Europa Festival se souviennment qu'elle s'y était produite voilà queiques annees), elle habite désormais Tel Aviv ou elle a perfectionné ses talents de percutionniste et développé son répertoire en hébreu. Le résultat est la: l'envo?tante Israélienne joue (peut-?tre un peu trop) de sa beauté, mais possède un talent et une voix hors du common que Gil Dor, son fidèle
guitariste, accompagne depuis ses débuts.
''Pop'' toujours avec Sting. Finis les cheveux à peine courts et l'imper négligé de 'An Emglishman In New York'. L'Anglais Englishman de Newcastle nous la joue de noir v?tu et le cheveu ras, allure de boxeur et douceur de marchand de sable. Il a achevé son virage, amorcé dans les années 80, et a livré un concert très jazz (comme 'If You Love Somebody' revu et corrigé), parfois consensuel et onctueux où il sauté du funk au rhythm n blues.
Heureusement, on retrouve parfois ces accents celtes qui ouyrent à l'oreille les étendues sans fin du pays natal. La pluplart du temps, c'est à un ''mix'' de musiques du monde que nous invite l'ex-Police. On regrette parfois que son surréalisme se noie par instant dans une trop longue contemplation musicale. Sa voix reste néanmoins intacte dans la profundeur du timbre. La nostalgie reste au rendez-vous. La salle se souvlève qui reprend le 'Roxanne' de ses debuts. Et le 'Mercury Falling' marque l'air d'un Sting sage, presque zen, sans frasques et riche de multiples styles ou il garde toute-fois son identité. C'est rare.
(c) Unknown newspaper
Noa l'ensorceleuse, Sting le géneréux...
Noa l'ensorceleuse, Sting le géneréux - 4,500 fans ont acclamé un tandem de charme, parc des expositions
Noa a faille voier le vedette à Sting, lundi soir au parc des expositions de Lanester. Les 4,500 spectateurs presents, ravis de la prestation de la chanteuse, se sont finalement régalés du concert de la star anglaise bien en forme.
Ils n'ont pas chanté ensemble, mais leur couple a bien fonctionné. Noa a assure une magistrate premiére partied u concert de Sting, lundi soir. Cette jeune Israélienne, militante pour un état juif laique et reconnaissant les driots des Palestiniens, est aussi engage dans le vie que dans ses concerts.
Pendant trios quarts d'heure, elle a installé une atmosphere chaleureuse dans la sale lugubre dup arc des expositions. Bien servie par ses musicians, passant allègrement du micro aux congas, la belle Orientale aux chevuex noirs en a fait frissoner plus d'un(e).
Son dernier morceau, avant le traditionnel rappel, était un hymne à la fraternité et à l'humnaisme, bienvenu avant Noël ''La vistoire de la lumière sur l'obscurité'', at-elle annoncé , avant de chanter une nouvelle mélopée au pafrum de Moyen-Orient, assise par joie, ses mains dansant au-dessus de sa tête, telles des petites flames.
L'applaudimetre est monté très haut, mais il était temps de plier baggage et de laisser la vedete a Mister Sting. Et si le Festival interceltiqye invitait à son tout Noa comme - guest star - et ambassadrice de la world music, histoire de mettre un peu de piment dans la progammation? On peut toujours rever.
Les briases n'etalent pas encore refroidies que l'ex-leader de Police remettait le couvert. Quatre titres de Mercury Fall, son dernier album, pur presenter le nouveau Sting, et le chanteur-bassiste partait pur une exploration de son monde musical en remontant progressivement aux sources. Jusqu au bout, le public l'a suivi ''Vous etes tous très gentils'', les a poliment congratulés le chanteur, la boule à zero comme un commando noir dévoilant des bras aux muscles longilignes.
Le quadragénaire se porte bien, mais il n'est pas du genre loubard. Un peu chiche avec ses musiciens qu'il ne laisse guère s'exprimer - fini le temps ou il se produisait en concert avec des sacrées pointures - Sting s'est montré généreux avec de public qui, de son coté, lui a donné toute l'énergie qu'il voulait y pulser. L'instrumentiste inspire n'était pas au rendez-vous, mais le chanteur a donné libre cours à ses performances. Quel organe! Sa voix montant dans les aigus comme peu d-artistes peuvent le faire joait au trapeze sur les cordes de sa basse.
Les femmes, les homes, les enfants... toute cette grande famille qui s'était déplacée pour l'ulime Vague de concert de l'année, a repris en choeur 'Roxanne', le titre cuite de Police que Sting a joyeusement revisité. Autre image forte de la soirée : un garcon et une fille invités à monter sur scène pour chanter avec lui. En voilà deux qui se souviendront toute leur vie de cette chère soirée (200F le ticket pour les adultes à l'entrée) mais décidèment fort conviviale.
(c) Ouest France by François Nikly